dimanche 31 mai 2009
samedi 30 mai 2009
samedi 23 mai 2009
vendredi 22 mai 2009
jeudi 21 mai 2009
Un film d'Almodovar présenté à Cannes
Etreintes brisées
(Los abrazos rotos)
De Pedro Almodóvar
Avec Penélope Cruz, Blanca Portillo
Dans l'obscurité, un homme écrit, vit et aime. Quatorze ans auparavant, il a eu un violent accident de voiture, dans lequel il n'a pas seulement perdu la vue mais où est morte Lena, la femme de sa vie.
Cet homme a deux noms : Harry Caine, pseudonyme ludique sous lequel il signe ses travaux littéraires, ses récits et scénarios ; et Mateo Blanco, qui est son nom de baptême, sous lequel il vit et signe les films qu'il dirige. Après l'accident, Mateo Blanco devient son pseudonyme, Harry Caine. Dans la mesure où il ne peut plus diriger de films, il préfère survivre avec l'idée que Mateo Blanco est mort avec Lena, la femme qu'il aimait, dans l'accident.
Désormais, Harry Caine vit grâce aux scénarios qu'il écrit et à l'aide de son ancienne et fidèle directrice de production, Judit García, et du fils de celle-ci, Diego. Depuis qu'il a décidé de vivre et de raconter des histoires, Harry est un aveugle très actif et attractif qui a développé tous ses autres sens pour jouir de la vie, sur fond d'ironie et dans une amnésie qu'il a volontairement choisie ou, plus exactement, qu'il s'est imposé. Il a effacé de sa biographie tout ce qui est arrivé quatorze ans auparavant. Il n'en parle plus, il ne pose plus de questions ; le monde a eu vite fait d'oublier Mateo Blanco et il est lui-même le premier à ne pas désirer le ressusciter...
Une histoire d'amour fou, dominée par la fatalité, la jalousie et la trahison. Une histoire dont l'image la plus éloquente est la photo de Mateo et Lena, déchirée en mille morceaux.
(Los abrazos rotos)
De Pedro Almodóvar
Avec Penélope Cruz, Blanca Portillo
Dans l'obscurité, un homme écrit, vit et aime. Quatorze ans auparavant, il a eu un violent accident de voiture, dans lequel il n'a pas seulement perdu la vue mais où est morte Lena, la femme de sa vie.
Cet homme a deux noms : Harry Caine, pseudonyme ludique sous lequel il signe ses travaux littéraires, ses récits et scénarios ; et Mateo Blanco, qui est son nom de baptême, sous lequel il vit et signe les films qu'il dirige. Après l'accident, Mateo Blanco devient son pseudonyme, Harry Caine. Dans la mesure où il ne peut plus diriger de films, il préfère survivre avec l'idée que Mateo Blanco est mort avec Lena, la femme qu'il aimait, dans l'accident.
Désormais, Harry Caine vit grâce aux scénarios qu'il écrit et à l'aide de son ancienne et fidèle directrice de production, Judit García, et du fils de celle-ci, Diego. Depuis qu'il a décidé de vivre et de raconter des histoires, Harry est un aveugle très actif et attractif qui a développé tous ses autres sens pour jouir de la vie, sur fond d'ironie et dans une amnésie qu'il a volontairement choisie ou, plus exactement, qu'il s'est imposé. Il a effacé de sa biographie tout ce qui est arrivé quatorze ans auparavant. Il n'en parle plus, il ne pose plus de questions ; le monde a eu vite fait d'oublier Mateo Blanco et il est lui-même le premier à ne pas désirer le ressusciter...
Une histoire d'amour fou, dominée par la fatalité, la jalousie et la trahison. Une histoire dont l'image la plus éloquente est la photo de Mateo et Lena, déchirée en mille morceaux.
mardi 19 mai 2009
vendredi 15 mai 2009
vendredi 8 mai 2009
Droite et guache
Après la deuxième guerre mondiale, le discrédit a été jeté sur la droite française : coupable de collaboration, de pétainisme, selon la mémoire de l'époque. Les gaullistes et les communistes ont cherché, pour des raisons différentes, à faire porter le responsabilité de Vichy sur la droite. En effet, les gaullistes avaient besoin des communistes pour asseoir leur légimité, et les communistes voulait jouer le rôle du parti de la Résistance pour faire oublier sa collaboration lors du pacte germano-soviétique.
Du coup, cette entente gaullo-communiste a lourdement imprégné notre conscience collective et la droite elle-même a intégré, en elle-même, cette responsabilit", alors que son comportement entre 1940 et 1944 ne fut pas plus coupable que celui de la gauche.
Mais le temps a passé. la droite qui se revendique décomplexée n'est plus pétrifiée par les incantations qui la décrivent comme fasciste et pétainiste. Nicolas Sarkozy et son équipe ne sont pas sensibles à ces références d'un autre âge. Du coup, la gauche n'a plus d'armes intellectuelles contre le droite et se trouve démunie. C'en est fini de l'idée que Vichy a été une faute dont les coupables doivent payer.
Selon cet article de Thierry Wolton, une droite forte génèrent une gauche réformatrice : c'est ce qui s'est passé en Angleterre, en Espagne, en Italie. le recentrage réalisé par Ségolène Royal n'a pas paru sincère, car trop brusque, mais elle aura plus de temps pour construire un parti réformateur et social face à la droite. Du moins espérons le, car pour l'instant elle n'a guère été convaincante.
D'après un article de Thierry Wolton.
Du coup, cette entente gaullo-communiste a lourdement imprégné notre conscience collective et la droite elle-même a intégré, en elle-même, cette responsabilit", alors que son comportement entre 1940 et 1944 ne fut pas plus coupable que celui de la gauche.
Mais le temps a passé. la droite qui se revendique décomplexée n'est plus pétrifiée par les incantations qui la décrivent comme fasciste et pétainiste. Nicolas Sarkozy et son équipe ne sont pas sensibles à ces références d'un autre âge. Du coup, la gauche n'a plus d'armes intellectuelles contre le droite et se trouve démunie. C'en est fini de l'idée que Vichy a été une faute dont les coupables doivent payer.
Selon cet article de Thierry Wolton, une droite forte génèrent une gauche réformatrice : c'est ce qui s'est passé en Angleterre, en Espagne, en Italie. le recentrage réalisé par Ségolène Royal n'a pas paru sincère, car trop brusque, mais elle aura plus de temps pour construire un parti réformateur et social face à la droite. Du moins espérons le, car pour l'instant elle n'a guère été convaincante.
D'après un article de Thierry Wolton.
jeudi 7 mai 2009
pénible
Avec lui, ce qui est fort déplaisant c'est sa façon de n'être surpris par rien; A tel point que je ne lui ai pas parlé de l'histoire de l'employé de TF1. Un type écrit un mail à son député, le mail va de la boite mail du député jusqu'au ministère de l'intérieur puis redescend à TF1 où bosse le type, et si je lui dis, il va le ver un sourcil et me dire : "tu t'attendais à quoi?" comme s'il me fallait être naïve de trouver ça choquant.
dimanche 3 mai 2009
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